France-Antilles-Japon.
Un projet d’échange culturel

Max Cilla, un flûtiste martiniquais appelé « Le Père de la Flûte des Mornes », est un maître musicien, décoré Chevalier dans l’Ordre National du Mérite en 2016, pour son travail sur la flûte traditionnelle en bambou de la Martinique, qu'il fabrique lui-même, et qu’il joue encore avec une grande virtuosité, à plus de 80 ans.

« France/Antilles/Japon » est un projet interculturel dans lequel Max Cilla et Mié Ogura, qui se sont rencontrés en 2022, grâce à la première d’un concert avec l’OFF : l’Orchestre de Flûtes Français, sous la direction de Marc Hajar (directeur artistique Pierre-Yves Artaud) au Conservatoire de Villejuif, en région parisienne. Les deux musiciens invités ont revisité leurs compositions personnelles allant de la Musique Caribéenne au Jazz, de la Musique Classique à la Musique Contemporaine. 

La richesse de ces rencontres a reposé sur l’équilibre entre la couleur des deux cultures très différentes qui se marient grâce au langage improvisé en commun, à l’écriture musicale universelle et aux arrangements de Mié Ogura.
La Musique de Max Cilla basée sur la tradition « Orale » de la paysannerie des Mornes de la Martinique, laissera des empreintes sur le répertoire orchestral « Ecrit », ce qui permettra d'interpréter cette musique à travers les genres et les générations.

En 2024, pour la deuxième édition, Mié a relevé le défi d'une orchestration symphonique en réalisant deux concerts avec l'Orchestre Symphonique des Conservatoires des 19ème et 10ième arrondissements de Paris, sous la direction de Jane Latron et Stéphane Granjon, et une autre présentation pour clôturer cette saison avec l'Orchestre d'Improvisation du Conservatoire du 19ème arrondissement de Paris.

À cette occasion, leurs improvisations sous forme d’un « concerto » ont apporté une nouvelle touche à leurs musiques.

Cet événement d’un caractère historique du fait de la mise en lumière de l’émergence d’une musique savante antillaise à travers les compositions de Max Cilla a enchanté le public.

« Cette rencontre passionnante et harmonieuse de Mié Ogura avec les compositions musicales du grand Max Cilla ; Rencontre qui ne cherche qu'à fondre ces deux univers musicaux retrouve un écho mondial… » D’après un article « France-Antilles » le principal journal français d'outre-mer.

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France-Antilles-Japon.

Un projet d’échange culturel

Max Cilla, un flûtiste martiniquais appelé « Le Père de la Flûte des Mornes », est un maître musicien, décoré Chevalier dans l’Ordre National du Mérite en 2016, pour son travail sur la flûte traditionnelle en bambou de la Martinique, qu'il fabrique lui-même, et qu’il joue encore avec une grande virtuosité, à plus de 80 ans.

« France/Antilles/Japon » est un projet interculturel dans lequel Max Cilla et Mié Ogura, qui se sont rencontrés en 2022, grâce à la première d’un concert avec l’OFF : l’Orchestre de Flûtes Français, sous la direction de Marc Hajar (directeur artistique Pierre-Yves Artaud) au Conservatoire de Villejuif, en région parisienne. Les deux musiciens invités ont revisité leurs compositions personnelles allant de la Musique Caribéenne au Jazz, de la Musique Classique à la Musique Contemporaine. 

La richesse de ces rencontres a reposé sur l’équilibre entre la couleur des deux cultures très différentes qui se marient grâce au langage improvisé en commun, à l’écriture musicale universelle et aux arrangements de Mié Ogura.
La Musique de Max Cilla basée sur la tradition « Orale » de la paysannerie des Mornes de la Martinique, laissera des empreintes sur le répertoire orchestral « Ecrit », ce qui permettra d'interpréter cette musique à travers les genres et les générations.

En 2024, pour la deuxième édition, Mié a relevé le défi d'une orchestration symphonique en réalisant deux concerts avec l'Orchestre Symphonique des Conservatoires des 19ème et 10ième arrondissements de Paris, sous la direction de Jane Latron et Stéphane Granjon, et une autre présentation pour clôturer cette saison avec l'Orchestre d'Improvisation du Conservatoire du 19ème arrondissement de Paris.

À cette occasion, leurs improvisations sous forme d’un « concerto » ont apporté une nouvelle touche à leurs musiques.

Cet événement d’un caractère historique du fait de la mise en lumière de l’émergence d’une musique savante antillaise à travers les compositions de Max Cilla a enchanté le public.

« Cette rencontre passionnante et harmonieuse de Mié Ogura avec les compositions musicales du grand Max Cilla ; Rencontre qui ne cherche qu'à fondre ces deux univers musicaux retrouve un écho mondial… » D’après un article « France-Antilles » le principal journal français d'outre-mer.

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